“Oh là là, vous n'y pensez pas ! Vous n'imaginez pas le travail que ça demande de créer un tarball des dernière mises à jours validées d'un Git…”

Une telle lamentation venant d'un amateur pas très éclairé n'aurait rien de surprenant mais elle fréquemment débitée par de prétendus professionnel⋅le⋅s. On comprend que la “profession” est peuplée d'incultes en informatique qui ne font plus la différence entre “pisser de ligne de code” et faire du développement logiciel.

Las, extraire un tarball prend à peu près 20 secondes¹⁾ :

git archive --output=mytarball.tgz HEAD $(git diff-tree -r --no-commit-id --name-only --diff-filter=ACMRT <my-id>)

À adapter au contexte, ce qui demande juste de savoir que qu'on appelle le contexte, c'est-à-dire avoir une connaissance minimale des outils qu'on utilise, des notions qu'ils manipulent et ne pas taper des commandes comme s'il s'agissait d'incantations :

• git diff-tree
• git archive